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Causerie (n.f) :
Petite conférence informelle
dixit le copain Larousse

Oser parler de la mort avec mon enfant

21/2/2019

3 Commentaires

 

Causerie avec Katell Séverin Psychologue Clinicienne et
Maman d’Anouck, 4 ans.

Comment parler avec son enfant de la mort ?
Vous le savez aussi bien que moi, la vie n’est pas un long fleuve tranquille ! Lorsque les circonstances sont difficiles et douloureuses nous aurions tendance à vouloir protéger nos enfants en cherchant à les tenir à l’écart. Mais pour les protéger de qui ? De quoi ?
C’est bien dans ces moments si délicats que la parole semble importante. Elle s’exprime et se construit en chacun de nous et quoi que l’on fasse, cette parole cherchera toujours à se faire entendre, même sous d’autres formes. Alors, laissez librement se former « des boucles » de parole entre vous et vos enfants. ​

Est-ce normal qu’un enfant pose des questions sur la mort (sans qu’il y ait de décès autour de lui) ?
Pourquoi ça ne le serait pas ? La mort fait partie de la vie. Il me semble plutôt naturel qu’un enfant s’interroge sur cette question. Cependant, pour qu’un enfant en parle de lui-même c’est qu’il y a eu probablement entendu de près ou de loin un événement ou une histoire autour de la mort. Cela peut aller d’une anecdote partagée en famille autour d’une personne connue décédée à l’histoire du petit insecte retrouvé mort dans la cour de récréation à l’école. L’idée ou la notion de la mort s’élabore progressivement en lien avec le développement et les expériences de l’enfant. 
 
A partir de quel âge peut-on en parler ?
Selon Winnicott « L’enfant n’est pas un adulte en miniature ». Sa perception du monde, de la mort, ses pensées, sa vie affective et sociale dépendent étroitement de ses expériences, de ses rencontres et de son développement.
  • Avant l’apparition du langage, il n’y a pas de compréhension de la mort, mais ils perçoivent et peuvent ressentir les souffrances émotionnelles.
  • Avant 6 ans : L’enfant est très sensible à l’absence et aux variations émotionnelles de son entourage. La mort est synonyme de sommeil et est donc temporaire et réversible. Ce qui explique parfois l’absence de réaction ou le peu d’émotion. A cet âge, les enfants questionnent de manière pratique et régulière l’absence de ce proche : « Il est où papi ?» (Lola 3 ans), « Quand on est mort, on a froid ? » (Paul 3 ans), « Tu crois qu’elle s’ennuie dans sa boîte » (Léa 4 ans), « Est ce que l’on peut le réparer ? » (Titouan 5 ans).
  • Vers 7-8 ans : L’enfant commence à prendre conscience du caractère irréversible et définitif de la mort. L’enfant est curieux et parfois fasciné par la mort. « Quand tu es mort, c’est pour la vie » (Alexane 8 ans)
  • Vers 10 ans : L’enfant prend conscience du caractère universel de la mort. La mort touche tout le monde. Dans un premier temps les personnes âgées, puis ceux par accidents et finalement il comprend conscience de sa propre finitude.
  • Vers 10 et plus : Sur le chemin de la maturation, l’enfant peut exprimer des peurs parfois autour de la perte des personnes qu’il aime et de lui-même.
On peut parler de la mort avec son enfant quel que soit son âge ! C’est sa compréhension qui sera différente selon son âge et ses expériences de la vie.
Ce qui faut retenir surtout c’est que avant 12 ans, l’enfant n’appréhende pas la mort comme un adulte, et qu’il peut ressentir facilement de la culpabilité notamment parce qu’il est traversé par une étape particulière celle de la « pensée magique » (= l’imagination, le monde imaginaire, les rêves de l’enfant). Il sera important de nommer la non responsabilité de l’enfant sur ce qu’il se passe. Il n’est pas responsable de la mort de cette personne ou du chagrin de la famille.
Aussi n’oublions pas que l’enfant n’exprime pas sa peine comme un adulte et qu’elle peut s’exprimer par d’autres symptômes : troubles du sommeil, de l’appétit, difficultés scolaires, troubles du comportement....
Rassurez-vous comme le chagrin, ces symptômes s’estompent avec le temps.
Photo
Crédit photo : Caleb Wood

Mon enfant s’inquiète et a peur que je meure, que je disparaisse : comment le rassurer ?
Oui, il est parfois possible qu’il exprime la peur irraisonnée de perdre tout le monde autour de lui. Rassurez votre enfant sur le fait que la mort n’est pas contagieuse, que votre santé est bonne et que votre départ pour le travail n’est pas une absence définitive.
 
Si on n’est pas croyant, que répondre à la question : où va la personne décédée après ?
Répondre « je ne sais pas » à son enfant est aussi une forme de réponse. Et je pense aussi que ce type de question de l’enfant n’attend pas forcement de réponse précise mais invite surtout à l’échange. Alors je vous invite à retourner la question à l’enfant « Et toi, qu’est-ce que tu en penses ? ». Et laissez l’imagination de l’enfant et la vôtre s’inventer une histoire. Scientifiquement, personne n’est encore revenu d’entre les morts pour nous dire ce qui se passe après la vie, alors se sera pas un mensonge de sortir un peu du réel pour s’ouvrir à l’imaginaire et s’inventer une histoire après la vie ou la mort… Cependant attention, on se raconte bien des histoires et non pas une vérité absolue, donc n’hésitez pas à mettre des « peut-être », « c’est possible » etc.
 
Faut-il se cacher quand on est triste ou qu’on pleure à cause du décès d’un proche ?
Le décès d’un proche est un événement douloureux qui se traverse en famille. Votre enfant en faisant partie, il est concerné par ce qui se passe, quel que soit son âge. Vous ne traumatisez pas vos enfants à pleurer devant eux, mais il sera important de nommer le pourquoi et la non responsabilité de l’enfant dans votre chagrin pour éviter de nourrir le sentiment de culpabilité d’une pensée magique.
 
Quelle attitude est conseillée juste après la perte d’un proche : ne pas l’évoquer trop fréquemment ou au contraire ne pas hésiter à lui en parler ?
Je pense qu’il est préférable d’annoncer la mort d’un proche le plus tôt possible car cette parole va mettre de la vie face aux émotions ressenties. Ensuite, qu’il n’est pas nécessaire de rappeler à chaque instant la mort et ses circonstances du décès de ce proche, mais il me semble très important de signifier à l’enfant que vous êtes disponible à répondre à ses questions dès qu’il en ressent le besoin. L’idée étant de rendre ce sujet parlé et non tabou.
 
Je vous invite à répondre à vos enfants de manière concrète, simple et vraie.
 
Je vais vous faire part d’une expérience personnelle : Il y a quelques mois une de mes tantes est décédée brutalement. Ma fille Anouck âgée de 3 ans au moment des faits, était présente avec nous. Ma fille a réclamé avec insistance vouloir m’accompagner. Elle n’avait pas de lien particulier avec ma tante mais je comprenais qu’elle avait besoin de voir concrètement de quoi nous lui parlions depuis 2-3 jours…
Malgré quelques appréhensions qui en réalité n’appartenaient qu’à nous, je prends le temps de décrire à ma fille où nous allons aller et ce que l’on allait voir ensemble.
Au moment de notre passage, nous étions que toutes les deux. J’ouvre la porte de la chambre et on s’approche tranquillement du corps. Je lui précise que l’on peut sortir quand elle le souhaite mais ma fille observe et regarde de manière intriguée, et naturellement elle a commencé à me questionner :
- (…)
- Qu’est-ce qu’elle fait, elle dort ?
- Non, elle est morte
- Est-ce qu’elle va sortir après ?
- Non, lorsque l’on est mort, on ne respire plus, on ne bouge plus…
- Elle est dans un lit ?
- Non quand on est mort, on met les personnes dans un cercueil…
- (…)
 
Nous avons échangé tranquillement pendant 10 minutes dans la chambre et puis on est parti toutes les deux. D’un point de vue de maman, je n’ai pas senti ma fille perturbée mais presque plus tranquille d’avoir pu voir ce dont on parlait avec et autour d’elle à propos du décès de ma tante…
 
D’un point de vue professionnel, il me semble important de répondre avec simplicité et vérité aux questions des enfants pour qu’ils ne confondent pas la mort avec le sommeil ou qu’ils associent un cercueil à un lit car avec les pensées magiques de nos enfants vous pourriez rencontrer par la suite des difficultés au moment du coucher… Idem pour toutes les autres réponses symboliques qu’un adulte porte à l’enfant. J’ai rencontré un enfant qui avait peur de la pluie car il pensait recevoir des bouts de sa mamie sur lui et d’autres encore…
Attention ! Répondre simplement aux enfants ne signifie pas non plus donner tous les détails d’un décès mais juste répondre à leurs questions.
 
Est-ce que des petits rituels ou actions particulières sont conseillés ?
La mort reste et sera toujours l’étape d’une vie, un processus naturel qui nous bouscule et nous rappelle à notre propre finitude.
Je pense que les rituels nous aident à nous rassembler, à nous organiser, à parler ensemble, de s’approprier l’événement, de l’intégrer dans notre vie familiale, personnelle et psychique. C’est un bon support sur lequel on peut s’appuyer pour continuer à en parler et vivre en apprivoisant l’absence d’un autre.
 
 
Quelle attitude avoir lors de la mort d’un animal domestique : rite, explications etc. ?
Doit-on le remplacer ? Quid d’un nouveau compagnon : faut-il attendre avant d’en reprendre un ?

Tout dépend de la place de l’animal au sein de la famille. Faites ce qui aura du sens pour vous et vos enfants.
Voici un extrait du livre d’Anne-Dauphine Julliand « « Deux petits pas sur le sable mouillé », dialogue entre une maman et son fils Gaspard de 8 ans, que je trouve très juste :
 
-   «Maman, pourquoi tu ne m’as pas dit tout de suite que Ticola (cochon d’inde) était mort ? 
-   Mais je te l’ai dit, Gaspard, dès que je l’ai appris.
-   Non, je veux dire, pourquoi tu as dit qu’il était parti ? C’est bizarre. Tu savais qu’il n’était pas parti puisqu’il ne reviendra pas. Et tu l’as dit quand même.
-   Oui c’est vrai, mais j’avais peur de te dire qu’il était mort. C’est un mot difficile à prononcer, du moins pour les grandes personnes.
-   Eh bien moi, je préfère entendre ; « Il est mort. » Moi je n’ai pas peur de la mort. Tout le monde va mourir. C’est pas grave la mort. C’est triste, mais c’est pas grave. »

Pourquoi est-ce que nous, adultes responsables, raisonnables, sages, avons-nous perdu cette belle simplicité ? Nous nous empêtrons dans des faux semblants, des non-dits, des tabous. Par pudeur, ou par peur, nous bannissons de notre vocabulaire des termes comme « mort ». Ce mot devient imprononçable et inaudible. Pourtant c’est une réalité imparable. ​
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Crises et colères, agir !

4/10/2017

0 Commentaires

 
CAUSERIE AVEC LÉNA CASTEL
​(Éducatrice durant 5 ans et Assistante maternelle depuis 3 ans)
LESF - Comment devons-nous agir lorsque notre enfant est en colère (mots, ton, attitude physique) ?
Ça dépend ! Il est important d’en parler avec votre enfant, d’être près de lui, de se mettre à sa hauteur, d'entendre qu’il est en colère et d'expliquer pourquoi vous dites "non", ou pourquoi il ne peut pas à ce moment-là. Le « non » seul n’est pas très constructif. Bien sûr, si vous avez expliqué la règle une douzaine de fois (N.D.L.R. Ah non, chez nous,on a besoin de ne répéter qu'une seule fois. Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu - blague so 90'), vous pouvez maintenant lui dire qu’il sait qu’il n’a pas le droit.
 
Votre positionnement physique compte, si vous dites « non arrête » en riant ou en repartant, l’enfant y verra une intention différente que si vous êtes près de lui avec une voix calme mais déterminée.

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crises et colères, comprendre !

4/10/2017

0 Commentaires

 
CAUSERIE AVEC KATELL SÉVERIN
​(PSYCHOLOGUE CLINICIENNE)
LESF - A partir de quel âge peut-on considérer que notre enfant est bien en train de faire une colère / un caprice selon vous ?
En tant que maman d’une petite fille de plus de 2 ans, je comprends l’expression de « caprice » ! (ND.L.R. Comme quoi, nous sommes tous à la même enseigne). On a beau tout faire pour que tout se passe bien, « boum », nous ne maîtrisons plus rien et souvent nous ne comprenons pas ce qui a pu provoquer cette situation. Notre patience est mise à rude épreuve. ​
Fatigue, énervement, stress... Un joli cocktail explosif !
Mais en tant que psychologue, je parlerai davantage « d’expression forte » de quelque chose chez l’enfant, que de caprice. Au fur et à mesure qu’il grandit, l’enfant peut manifester des crises de rage ou de colère qui s’expliquent souvent parce qu’il évacue des tensions ou libère un trop plein d’émotions (exemple : une incompréhension ou le ressenti d’une  injustice).
Bref, il y a quelque chose qui ne va pas !

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Comment gérer les premières rentrées scolaires ?

8/8/2017

2 Commentaires

 
CAUSERIE AVEC LYDIE MOLLON ET MARION B.
​(PROFESSEURS DES ECOLES)
​
LESF - Pour une première rentrée des classes, quand doit-on commencer à en parler à Mini ? On en parle pas, un peu, beaucoup, à la folie ? 
En parler trop souvent risque d’apporter un stress à votre enfant. Des petites lectures d’albums sur l’école pendant l’été peuvent permettre d’aborder la rentrée en douceur comme Tchoupi ou Petit ours brun rentre à l’école, Non non et non de Mireille d’Alancé ou encore La maternelle dans la collection Imagerie des touts-petits.

​LESF - Est-il conseillé de lui faire visiter l'école ?
Normalement, une visite de l’école est faite par le directeur ou la directrice lors de l’inscription. Mais si ce n’est pas le cas, l’enseignant de votre enfant s’en chargera à la rentrée.

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Comment préparer Mini à l'arrivée d'un bébé ?

9/5/2017

 

Causerie avec Katell séverin
(Psychologue clinicienne)

LESF - A quel moment conseillez-vous d’annoncer l’arrivée d’un petit nouveau dans la famille au(x) aîné(s) ?
​
Je pense que l’on peut annoncer à son aîné que l’on attend un bébé dès que l’on en a envie car les enfants ressentent les choses. Les cachotteries et les chuchotements peuvent créer des situations inconfortables pour l’enfant. Poser des mots simples sur ce qui se passe « ici et maintenant » permet de rassurer notre enfant. Une fois l’annonce faite, laissez néanmoins votre enfant réagir à sa guise et ne revenez dessus que s’il pose des questions. Vous avez quelques mois devant vous pour en parler tranquillement tous ensemble.

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COMMENT AIDER MON ENFANT QUI A PEUR ?

14/12/2016

 

CAUSERIE AVEC KATELL séverin (Psychologue clinicienne)

LESF - A quel âge le sentiment de peur peut-il commencer ?
​Par définition, la peur est une émotion ressentie en présence ou dans la perspective d’un danger/ d’une menace ou dans une situation inconfortable. Elle peut aller de l’inquiétude à l’anxiété, de la crainte à la frayeur, de l’angoisse à la phobie. Pour moi, cette émotion peut donc être ressentie dès la naissance, voir in utéro.
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LESF - L'âge influe-t-il sur le type de peur ?
​Oui, en quelque sorte…Un nourrisson exprime ses peurs par des sursauts ou des pleurs si par exemple le bruit est trop fort. Ensuite vers 7-8 mois, et ça les parents s'en rendent vite compte, l’enfant commence à réagir; il pleure lorsqu’il n’a plus un parent dans son champ de vision ou qu'il fait face à une personne qu'il ne connait pas.
C'est à partir de 2-5 ans que la peur prend une autre forme plus « classique », en lien avec son développement. A cette période, la peur n’a de limite que l’imaginaire de l’enfant [N.D.L.R. Imaginaire, lui -même sans limites!] : peur des monstres, peur du noir, peur des loups, cauchemars et terreurs nocturnes font souvent partie du quotidien de l'enfant. Même si ces peurs nous paraissent farfelues et irrationnelles, il faut se rappeler que l’émotion ressentie est bien réelle.
Ensuite plus l’enfant grandit, plus les peurs vont s’ancrer dans la réalité : peur de la mort, de perdre, d’avoir une mauvaise note, des voleurs, du feu, des animaux...
Plus grand, voire à l’adolescence, la sensation de peur peut même être recherchée. Elle peut devenir un stimulant pour certains (ex : les sports extrêmes). Toutefois encore immature, l’enfant peut avoir des réactions disproportionnées face à ses peurs, il faut donc les prendre au sérieux.

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Quand et comment faire pratiquer un sport à mon enfant ?

25/9/2016

 

Causerie avec Steven lamour (Educateur sportiF)

Steven est titulaire du diplôme d'état d'éducateur sportif spécifique tennis. Il enseigne en club, pour la Ligue de tennis des Pays de la Loire et intervient également en milieu scolaire pour les TAP (Temps d'Activité Périscolaire). 

[n.d.l.r Petite confidence, l'équipe LESF est absolument fan du nom de famille de Steven!]

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LESF - A quel âge selon vous peut-on faire commencer le sport ?
6-7 ans est pour moi le meilleur âge. Les enfants sont davantage réceptifs aux apprentissages (leur attention est plus importante) et leur motricité commence à bien se développer. Pour certains enfants possédant des capacités au dessus de la moyenne (en particulier des capacités d'attention) on peut démarrer plus tôt, mais ces enfants sont rares [N.D.L.R. Houla, il va donc falloir faire preuve d'objectivité, parce que bien évidemment notre enfant est toujours et dans tous les domaines au dessus des capacités moyennes!]. A cet âge, l'enseignement doit être très ludique : on apprend par le jeu !

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